La promesse du Big Data (et encore davantage des smart datas) est l’observation beaucoup plus facile des comportements digitaux. De même qu’un banquier connait très bien certains comportements de ses clients, un distributeur connait les achats de ses encartés. L’étude d’usage et attitude vous aide à apprécier les habitudes de vos consommateurs. On vous en dit plus…
La réponse de BVA
Le problème majeur dans la conduite d’une étude d’usage et d’attitude est le double morcellement (les usages d’une part, les attitudes de l’autre). Cela crée une importante hétérogénéité des usages et attitudes (dans une combinatoire souvent complexe).
Dans ce cadre, il peut être nécessaire de réaliser une phase qualitative exploratoire. La connaissance est trop imparfaite pour mettre au point un questionnaire cohérent et efficient, centré sur le cœur des problématiques. Cela permet d’éviter de dériver vers des questionnaires ultra-filtrés qui mènent à des échantillons trop courts dans chaque branche.
La combinatoire usage / attitudes étant complexe, l’analyse s’appuie toujours sur la construction d’une typologie qui permet de bien fixer les enjeux stratégiques et d’orienter les recommandations en fonction des différentes cibles.
Le conseil de l’expert
Trois grands conseils pour une étude d’usage et d’attitude réussie :
- Une taille d’échantillon en rapport avec la multiplicité des comportements et attitudes imaginées. Sans cela, le risque est grand d’avoir des échantillons trop courts sur des axes pourtant intéressants à l’analyse.
- Une prise de hauteur stratégique autour des résultats. Garder une vision relativement macro et structurelle est primordiale. Surtout que les micros détails qui ne sont que des épiphénomènes.
- Un questionnaire parfaitement étudié qui ne doit jamais apparaître comme une sorte d’inventaire sans logique. Vous risquez de lasser les personnes interrogées.
Vous pouvez également faire appel à Afrik Survey, cabinet d’étude spécialisé, pour vous accompagner !